vendredi 15 février 2008

Historique de la spéléologie

De tous temps, l'homme a fréquenté les cavernes pour trouver abri et protection puis pour se rapprocher de ses dieux et croyances.
La spéléologie moderne est issue des mythes comme de la curiosité mêlée de science du siècle des Lumières. Puis les romantiques en font une mode; plus tard encore, les aventuriers du XIXe siècle s'avisent du « conservatoire » privilégié que constitue la caverne.

Le premier Institut de spéléologie au monde est créé en 1920 à Cluj (Roumanie) par le biologiste Emile Gustave Racovitza.
L'entre-deux guerres verra l'arrivée d'alpinistes, accoutumés au vide, apportant avec eux de nouvelles connaissances techniques. La spéléologie se « démocratise » du fait de l'emploi de la technique sur corde simple. Les expéditions, beaucoup plus légères, permettent la découverte d'énormes réseaux labyrinthiques bien plus complexes que ne l'envisageaient les théories de Martel !
À la Libération, les livres de Martel et l'esprit de liberté de l'après-guerre, font affluer de nombreux jeunes vers cette activité devenue « spéléologie sportive ». C'est la naissance des spéléo-clubs et avec elle l'augmentation des records de profondeurs atteintes dans les cavités. La spéléologie française organise des expéditions à l'étranger et se fédère : Fédération française de spéléologie (FFS). La FFS à son tour se structure et crée l'École française de spéléologie (EFS). L'apport de cet enseignement, lié à de nouvelles techniques de progression aux bloqueurs et descendeurs sur cordes simples, fait exploser le nombre des cavités explorées. Les records de profondeur ou de développement de réseaux se succèdent.

Aujourd'hui la spéléologie se pratique également comme un loisir de nature, démocratisé, où certaines cavités deviennent des « classiques », topographiées par les spéléologues mais visitées aussi bien par les spéléologues que par des centres de vacances, des familles ou des professionnels de l'industrie du loisir avec leurs clients.

jeudi 14 février 2008

Objectif de l'activité

Dans le cadre d'un partenariat entre 2ISA centre de réinsertion professionnelle dans l'informatique pour travailleurs handicapés et le comité départemental de spéléologie de l'Aveyron, une journée d'initiation à la spéléologie a été organisée afin de faire découvrir une activité sportive permettant grâce à la cohésion d'un groupe de progresser ensemble, ainsi que de développer individuellement une confiance en soi .



Se rendre compte de la nécessité de prendre en considération l'importance des échanges et de la communication afin de créer un relationnel instructif entre l'encadrement et les stagiaires.


Prise de conscience de l'équilibre entre le corps et l'esprit pour exercer pleinement une activité professionnelle.

Trouver par la découverte d'espaces et d'activités apparement peu compatibles avec un handicap un moyen de lutter contre l'immobilisme lié à une formation ou une profession dans le secteur informatique.

Se préparer aux activités pratiquées en entreprise dans le cadre du management moderne.

Se donner les moyens d'exercer une activité professionnelle ou ludique en s'adaptant en fonction de son handicap et de ce fait prouver envers une société " d'exclusion" notre capacité d'intégration.

mardi 12 février 2008

Le monde souterrain

C'est un monde oû l'on perd la notion du temps ainsi que tous les repères habituels de notre univers quotidien.







Il posséde sa propre topographie avec ses gouffres, syphons, riviéres, lacs, boyaux et salles.






Son relief varié s'est constitué sur des périodes qui se comptent en millénaires, il ne faut pourtant pas oublier qu'il évolue et se transforme sans cesse même si ces processus sont lents.Au fil du temps les concrétions dues à un dépot du calcaire contenu dans les eaux d'infiltrations, deviennent de véritables chef d'oeuvres: stalactites concrétions descendantes, stalagmites concrétions montantes, colonnes, cascades de calcaire figées éternellement,



Cathédrales creusées par les riviéres souterraines, pierriers (amas de roches) créés par des effondrements ou arrachées aux parois.









N'oublions pas sa faune et sa flore cavernicole trés diversifiées et méconnues: chauve souris, crevettes, invertébrés, champignons algues.






Il est important de se souvenir que ce milieu qui fut momentanément celui de nos ancêtres durant la préhistoire nous devons le redécouvrir et le respecter car c'est un univers inhospitalier avec ses dangers : crues souterraines, éboulements et surtout protéger sa diversité et sa beauté.


vendredi 8 février 2008

Le matériel

Le succés ou l'échec d'une expédition spéléologique dépend souvent de l'équipement.Selon le type de cavités on adoptera un équipement de base: casque avec éclairage, combinaison, bottes, sac de portage.Dans le cas contraire le matériel sera plus spécifique: longes, baudrier, descendeur, bloqueur ventral.Pour des obstacles verticaux il est conseillé d'avoir un équipement collectif: cordes, mousquetons, chevilles.


Le matériel individuel:

Casque avec calebonde: casque avec une éclairage; la flamme étant produite par la combustion de l'acétylène dût à une réaction entre du carbure de calcium et de l'eau.






La combinaison: elle doit être composée d'une seule pièce, elle doit être choisie en fonction de la température de la grotte (en texair pour une température froide ou en polyamide); une sous-combinaison peut être utilisée.


Sac de portage: sac contenant le matériel neccessaire à l'expédition: eau, carbure (pour la lampe), couverture de survie, nourriture, cordes, baudrier ... Il doit être robuste et le plus léger possible.



Le baudrier: Il permet d'attacher le spéléologue aux diverses cordes lors de ses déplacements dans la grotte grâce aux longes par exemple.

Les longes: ce sont deux lignes de vie fixées sur le baudier, elles sont assorties à deux mousquetons afin sécuriser les déplacements qu'ils soient verticaux ou horizontaux.



Le descendeur: Il permet de descendre sur la cordes, il est fixé au baudrier, il est muni d'un frein permettant de gérer la vitesse de descente.



Bloqueur ventral: C'est un des éléments qui permet de remonter sur la corde, il est muni d'un système anti-retour qui permet à la corde de coulisser dans un seul sens.






  • Le matériel collectif:


  • Afin de franchir des obstacles verticaux, les spéléologues utilisent les cordes. Elles sont attachées par le biais d'amarrages (mousquetons et plaquettes) à des spits (chevilles autoforeuses) ou à des amarrages naturels (arbre, concretion solide, ...). La première priorité est déviter que la corde ne frotte contre la paroi. Le rôle de la personne qui équipe est de dévier la corde afin de la préserver. Pour apprendre à équiper une verticale, il faut déjà être en autonomie totale à la progression personnelle. Des stages de la Fédération Française de Spéléologie vous permettent d'apprendre et de vous perfectionner à l'équipement.





  • Pour en savoir plus: http://ecole-francaise-de-speleologie.com/doc/manuel_technique_initiateur/2_mat_collectif/ch2_2.pdf
  • jeudi 7 février 2008

    Disciplines associées

    La spéléo plongée

    La plongée souterraine, est une activité qui a pour but d'explorer et d'étudier les conduits noyés naturels généralement creusés sous terre appelés aussi siphons.



    Ces explorations supposent à la fois une parfaite maîtrise des techniques de la plongée en surface libre, des techniques et équipements spécifiques adaptés aux milieux clos, une bonne connaissance du milieu souterrain et des techniques d'exploration.


    Ce type de plongée requiert une approche différente de la plongée en mer, compte tenu du milieu où elle est pratiquée : si un problème d'air ou de mélange respiratoire survient, il n'est pas possible de remonter rapidement, étant « enfermé ». Il faut, quel que soit le problème, pouvoir rejoindre la sortie.

    Le plongeur s'équipera alors en conséquence : deux bouteilles (ou plus) indépendantes, deux lampes (ou plus), un casque, un dévidoir, etc

    On utilisera un fil d'Ariane afin de retrouver le chemin du retour : dans les galeries, la visibilité peut se dégrader en très peu de temps à cause des particules d'argile qu'un plongeur peut brasser avec ses palmes ou même les bulles qu'il expire.


    Il existe, dans le monde, toutes sortes de galeries noyées. Si certaines sont étroites et boueuses, d'autres sont, au contraire, très larges et l'eau qui y circule possède une clarté excellente. Beaucoup sont connues et leur topographie réalisée, mais d'autres restent à explorer !

  • Le canyoning
  • La descente de canyon consiste à suivre un cours d'eau à forte pente dans une vallée étroite en franchissant les cascades, toboggans et biefs rencontrés tout au long du parcours.

    Le canyoning est une activité de nature apparentée à la spéléologie, à la randonnée pédestre, à l'escalade et à l'alpinisme d'une part, et aux sports d'eaux vives d'autre part.

    Elle consiste à progresser dans le lit de cours d'eau dont le débit est variable dans des gorges ou des ravins étroits, avec des cascades de hauteurs variées .






    Le plus souvent, la progression suit le lit du ruisseau. Elle s'effectue principalement à pied, mais également à la nage ou en utilisant les techniques de progression sur corde couramment utilisées en spéléologie, en particulier la descente en rappel.

    Les parcours ne présentant aucune difficulté ni vis-à-vis de l'eau vive ni vis-à-vis de la verticalité sont dénommés randonnées aquatiques.

    En revanche, la progression par fort débit nécessite une bonne maîtrise de la nage en eau vive, et la progression dans les ravins barrés de nombreuses cascades nécessite de bonnes connaissances dans les manœuvres de cordes.

    Le canyoning est donc une discipline spécifique qui nécessite une bonne expérience et diverses connaissances pour être pratiquée en toute sécurité.

    mardi 5 février 2008

    Règlementation

    La spéléologie suppose une pédagogie de l'initiative et de la responsabilité, impliquant la connaissance et l'acceptation de risques inhérents au monde souterrain. La pratique de cette activité ne peut être enfermée dans une réglementation stricte qui la viderait de tout intérêt.

    ORGANISATION DES SORTIES :

    La spéléologie est une activité de pleine nature et, à ce titre, la Fédération française de spéléologie fait siennes les orientations suivantes :
    Les "activités de pleine nature " se caractérisent par :
    - le cadre naturel dans lequel elles se pratiquent, plein d'incertitude, de changements et de nécessité d'adaptation,
    - les déplacements, la vie de groupe et les contacts avec l'environnement qu'elles occasionnent,
    - l'engagement physique qu'elles exigent.
    Ces activités sont considérées comme des moyens d'éducation mis au service d'une formation globale. Il ne s'agit pas d'enseigner seulement une discipline mais aussi d'animer une activité physique de pleine nature.
    L'animateur qui conduit cette activité doit :
    - disposer d'un niveau technique lui permettant de maîtriser les situations que peut rencontrer le groupe qu'il animera ;
    - assurer l'application stricte et permanente des règles de sécurité.
    Lorsque ces activités présentent un degré réel de complexité technique lié à la présence d'un risque à maîtriser, l'encadrement doit être adapté au niveau des difficultés pouvant être rencontrées et à la nature du groupe.
    Sous terre, le moindre incident peut devenir accident.
    La sécurité des participants et la protection du milieu souterrain doivent être les préoccupations essentielles du responsable. Les mesures et recommandations proposées vont dans le sens d'une pratique la plus libre possible dans de bonnes conditions d'éducation et de sécurité.


    SECURITE :

    La Fédération française de spéléologie recommande l'observation des points ci-après :
    - Reconnaissance préalable de la cavité.
    - Connaissance du régime hydrologique et des conditions météorologiques du bassin ou du massif.
    - Communication de l'itinéraire et des horaires approximatifs à une personne connaissant le déclenchement d'une alerte.
    - Ajustement de la durée du séjour sous terre en fonction du type de cavité, de l'âge (*) et du nombre de participants, de leur niveau technique, de leur condition physique et de leur équipement individuel.
    (*) Aucune limite d'âge inférieure pour la pratique de l'activité n'est préconisée par la F.F.S.
    - Encadrement du groupe par deux adultes et limitation à huit du nombre des participants si les difficultés prévues doivent trop ralentir la progression.
    - Tenue vestimentaire et matériel de secours adaptés au type de cavité, casque avec jugulaire et éclairage efficaces indispensables.
    - Tous les éléments de l'équipement individuel et collectif doivent être en bon état, convenablement réglés et utilisés conformément à leur destination.


    PROTECTION DU MILIEU :

    Une bonne connaissance du milieu naturel et particulièrement du milieu souterrain est indispensable pour animer et enseigner une pratique spéléologique soucieuse de l'environnement (pas de traces, pas de déchets abandonnés sous terre, ou à l'entrée des cavités, ...). Afin de préserver le libre accès aux sites et par civisme, le responsable s'appliquera à occasionner le moins de gêne possible (respect, courtoisie, discrétion) auprès du propriétaire et des autres usagers.

    CLASSEMENT DES CAVITES :

    En raison de l'extrême diversité des cavités et dans un souci de simplification, la Fédération française de spéléologie définit une classification en cinq groupes :
    - Classe 0 = cavité aménagée pour le tourisme.
    - Classe 1 = cavité ou portion de cavité ne nécessitant pas de matériel autre qu'un casque avec éclairage.
    - Classe 2 = cavité ou portion de cavité d'initiation ou de découverte permettant une approche des différents aspects du milieu souterrain et techniques de la spéléologie. Les obstacles seront ponctuels. Leur franchissement nécessitant éventuellement du matériel, sera adapté aux possibilités du débutant. La présence d'eau ne doit pas empêcher la progression du groupe.
    - Classe 3 = cavités ou portions de cavités permettant de se perfectionner dans la connaissance du milieu et dans les techniques de progression. Les obstacles peuvent s'enchaîner. L'ensemble des verticales ne doit pas excéder quelques dizaines de mètres, de préférence en plusieurs tronçons. La présence d'eau ne doit pas entraver la progression du groupe, ni entraîner une modification de l'équipement des verticales.
    - Classe 4 = toutes les autres cavités.
    L'entraînement aux techniques spéléologiques suppose une pratique en milieux non souterrains, naturels ou artificiels. La classification ci-dessus est évidemment transposable aux sites de surface.


    COMPETENCES SOUHAITEES POUR L'ENCADREMENT :

    - Classe 0 : aucune qualification particulière.
    - Classes 1, 2, 3 et 4 :
    Il est indispensable que l'encadrement dispose des compétences, au niveau physique et technique en rapport avec les difficultés pouvant être rencontrées.
    Il est souhaitable qu'un membre au moins de l'encadrement soit titulaire d'un diplôme délivré par la Fédération française de spéléologie.
    Notes :
    - En ce qui concerne la pratique de la spéléologie en Centres de vacances ou de loisirs, il y a lieu de se reporter à l'
    Arrêté ministériel du 20 juin 2003.
    - Aux termes de l'article 43 de la
    Loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 modifiée, relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives, l'encadrement " à titre professionnel " de la spéléologie nécessite la possession d'un brevet délivré par l'État (B.E.E.S., B.A.P.A.A.T.).
    Texte élaboré lors des Journées d'étude nationales de l'École française de spéléologie, les 11 et 12 novembre 2000 à L'Isle en Rigault (Meuse) et adopté par le Comité directeur de la Fédération française de spéléologie, le 18 mars 2001 à Lyon.

    dimanche 3 février 2008

    Sites remarquables en Aveyron

    Avant toute randonnée spéléologique il est trés important de suivre quelques recommandations de base.

  • S'informer des conditions météorologiques auprés du centre couvrant la zone d'activité.

  • Recueillir toutes les informations sur le niveau de difficulté et les riques existants.

  • Avoir un relevé topographique, si possible se renseigner auprés d'un club.

  • Contrôler et s'assurer d'avoir tout le matériel.

  • Penser a s'hydrater, emporter quelques aliments, une trousse de premier soins et une couverture de survie.

  • Avoir une assurance

    Quelques sites
  • La grotte Bouche Rolland: près de Solsac (Salles-la-Source) est connue des amateurs de spéléologie et doit son nom au brigand Rolland qui en fit son repaire au XIV° siècle c'est une grotte facile d'accés avec une descente de 10 m elle contient des vestiges préhistoriques.


    Tindoul de la Vayssière: à 4 km de Sébazac est un gouffre de 47 mètres de profondeur une désescalade sur un cône d’éboulis, une étroiture (qui n’a d’étroiture que le nom car se passant très bien) et la visite de la galerie. La galerie est de large section (en moyenne 5 m*5 m) et est parcourue en hiver par une rivière. Cette rivière ressort à Salles la Source et donne sa célèbre cascade


    Aven de Mas Raynal: ce puits vertical descend à plus de 100 mètres. Son diamètre s'établit entre 20 et 30 mètres (eaux de la Sorgue). Aven de Gabriellou (Mas Raynal) profond de 132 mètres rejoint également le cours d'eau de la Sorgue
    L'Aven Armand: à l'intérieur une forêt de 400 stalagmites recherchent le contact avec au-dessus d’eux autant de stalactites. "la grande Stalagmite" avec près de 30 mètres de haut s’élève et décroche un record mondial.La cheminée d'accès, longue de 40 m, débouche à la voûte d'une salle immense haute de 35 m qui se prolonge vers le bas par un second puits obstrué à 90 m de profondeur. La salle, longue de 110 m, large de 60 m a une hauteur moyenne de 45 m.Un funiculaire permet l'accés aux handicapés.




    L'aven noir pour (spéléo expérimenté): situé au cœur de la vallée du Trévézel, l'Aven Noir comporte 20 km de galeries incroyablement concrétionnées, datant de la fin du tertiaire. Elles s'étalent sur deux départements et quatre communes : Nant (Aveyron), Trèves, Lanuéjols et Revens (Gard). La descente ua fond de l'aven est trés technique par la suite le réseau souterrain est constitué de cheminées et de galeries plus ou moins difficiles d'accés.Il est à noté qu'une partie des galeries est interdite au public.La principale beauté de ce site réside dans sa diversité minéralogique.





    vendredi 1 février 2008

    La sortie, conclusions

    Nous avons éffectué cette activité dans le cadre de le préformation des TSRITE 7 du centre de réinsertion professionnelle de Millau (2ISA) avec l'encadrement de spéléos du comité départemental de spéleo de l'Aveyron et de quelques membres de 2ISA.

    Elle s'est déroulée en trois étapes:

    Arrivés à Saint Paul des Fonts une petite marche d'approche jusqu'au site de La Cabane nous attendait.
    Ensuite nous avons progressé dans une galerie d'initiation horizontale d'environ 400m jusqu'à une petite nappe souterraine.
    Sur place il a été possible d'effectuer deux types d'activité une progression sur via corda et passage par un boyau ou passage par un goulot pour accéder à la riviére souterraine.

    A la suite de cette sortie nous avons effectué un travail en commun consistant à la création d'un diaporama et d'un blog, ainsi que leur présentation devant un auditoire.

    Cette activité nous a permis de mieux nous connaître, d'évaluer nos capacité d'adaptation, de gérer notre handicap, de prendre confiance en soi.Le travail qui a été réalisé par la suite nous a fait prendre conscience de l'importance de structurer une équipe et de savoir s'y intégrer et y tenir sa place. De plus nous avons pu nous familiariser avec un outil informatique tel que Power Point et de l'importance de la forme du support nécessaire à la transmission d'une information
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